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   Dahudanse est née en 1999 à Gilly/Isère ; un bureau s'est constitué dont la présidente fut Simone Mérieux, la secrétaire Paulette Colin, le trésorier Gérard Blanc et l'animateur de danses étant moi même : Henri Colin.

 

Comment en sommes nous arrivés là ?

 

En 1988, au cours d'un bal folk, organisé à Grignon par Marie Pignard, une de mes collègues du Val des Roses, ma femme et moi avons fait connaissance de Jean-Louis Vidal, Sylvestre le Ménestrel qui animait ce bal. Les danses nous ont enthousiasmés. Comme il donnait des cours à un petit groupe (une dizaine de personnes) à l' école de Tournon, nous l'avons rejoint.

 

Puis avec l'Association des Quartiers Sud d'Albertville, nous avons transféré les cours dans une salle de jeux de l'école maternelle du Val des Roses (prêtée par ma collègue directrice Chantal Berlioz actuellement adjointe scolaire à la mairie de Gilly). Je me souviens que les Collombier :  Véronique et puis Jean François participaient aux séances.

 

Puis Jean Pierre Vidal a cessé les cours et nous nous sommes repliés, un petit groupe d'une douzaine à la salle des fêtes de Tournon. J'avais un petit poste de radio et avec les cassettes je proposais des danses.

 

La salle devenant trop petite à Tournon pour le nombre de participants, c'est sous l'impulsion de Bernard Mérieux, époux de notre première présidente, que nous nous sommes installés à Gilly en 1999.

 

 

Pourquoi le nom de Dahudanse ?

 

Il faut ajouter qu'avec Bernard Mérieux, Gérard Blanc et moi même, nous nous réunissions pour jouer des morceaux de musique folk. Gérard était au diato, Bernard à la rythmique et moi au violon. Nous avons pensé à former une association et nous avons cherché un nom : le Dahu c'est une légende de nos montagnes , comme les danses qui nous viennent de nos ancêtres et dont les origines sont parfois bien floues. D'autre part, vu la morphologie du dahu même si nous sommes handicapés la danse reste permise !

 

Voila finalement l'origine du nom que nous avons choisi tous les trois et que le premier bureau a entériné.

 

                                                                                                                                                  Henri Colin

                                                                                                                                                   Octobre 2014

 

 

                                                                                                                                              

                                                                            

POUR SIMONE,

 

Simone nous a quittés le 22 février 2016.

Avec son mari Bernard, Henri et Paulette Colin, Gérard Blanc, Simone était l'une des fondatrices de Dahudanse.

 

Elle a été la première présidente de l'association. Elle est toujours restée membre du conseil d’administration, apportant un soutien et une implication indéfectibles.

Nous nous souviendrons longtemps de son sourire, de sa gentillesse et de sa présence discrète.

 

POUR HENRI,

 

Tous les danseurs de Dahudanse sont un peu orphelins aujourd’hui. Henri nous a quittés le 16 septembre 2015.

Henri était un des fondateurs de cette association et l’a portée pendant de nombreuses années. Nous sommes encore nombreux à avoir été accueillis par Henri. Notre souvenir est commun : un accueil très chaleureux avec toujours son grand sourire et son entrain pour nous emmener dans la danse.

Il a voulu le meilleur pour cette association et pour tous ceux qui y participaient. Un investissement sans faille pour que Dahudanse soit connu et reconnu, pour que les danseurs puissent évoluer toujours dans les conditions les meilleures.

 

Henri c’était l’envie de danser et de faire danser tout le monde, c’était la volonté de créer un espace où chacun puisse passer un bon moment et oublier le temps de quelques danses les soucis et les coups durs.

 

Henri c’est pour toujours dans nos mémoires le son de son violon, les danses italiennes, les coups de cœur et les coups de gueule, la générosité.

 

Et puis il a passé le relais. Il a continué à suivre de près Dahudanse et à soutenir inconditionnellement la nouvelle équipe.

Nous ferons tout pour que Dahudanse dure encore longtemps dans l’esprit qu’Henri a impulsé.

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